Organisations fondatrices
Les organisations fondatrices de l’AFOIT et leurs membres actuels au CA
FORCE OUVRIERE
CFDT
Catherine SCHLACTHER : Titulaire
Les organisations fondatrices de l’AFOIT et leurs membres actuels au CA
Catherine SCHLACTHER : Titulaire
Les membres du bureau sont membres du CA
Aller plus loin
L’Association Française pour l’OIT : une conviction partagée pour la Justice sociale et le Travail décent à travers le monde
Depuis 2001, l’Association Française pour l’OIT reste fidèle à une haute mission : promouvoir les valeurs et actions de l’Organisation Internationale du Travail, parfois mal connues dans notre pays.
Cette connaissance insuffisante est d’autant plus regrettable que la France a exercé une influence déterminante dans la vie de l’OIT depuis sa création en 1919.
Albert Thomas, Léon Jouhaux, Francis Blanchard, Yvon Chotard, Philippe Séguin, Marc Blondel, Jean-Claude Javillier, Bernard Thibaut, Gilles de Robien sont les plus connus d’une longue liste de représentants du gouvernement, de syndicalistes, d’employeurs et de fonctionnaires qui ont fait preuve d’engagement et de détermination envers cette organisation et ses idéaux.
En complète synergie avec le Bureau de l’OIT pour la France, et en respectant la responsabilité de chacun, l’AFOIT met tout mettre en œuvre pour diffuser les débats, propositions et décisions de l’OIT dont la vision de ses créateurs est aujourd’hui d’une actualité remarquable.
Notre association s’adresse notamment à tous les acteurs publics comme privés, parlementaires comme juges, professeurs comme étudiants, concernés à divers titres par les questions sociales.
Qu’il s’agisse de relations professionnelles et de droit du travail, de protection et de sécurité sociale, de développement durable et de responsabilité sociale des entreprises, nous avons toujours à apprendre d’une Institution tripartie internationale telle que l’OIT.
Il est important de souligner que notre siège social se trouve au Conseil Economique Social et Environnemental, qui appuie nos activités de façon déterminante. Nous lui en sommes gré, conscients de l’importance de telles institutions dans le monde.
La langue française reste une langue officielle de l’OIT, comme de l’ONU : cela facilite la consultation directe des documents sur le site de l’OIT, et de son Bureau